Call me boulet

17 Fév

Mercredi après-midi, je me suis subitement souvenue que, le lendemain matin, des gens allaient venir relever nos compteurs (j’avais reçu un p’tit courrier). Le jeudi 16 février entre 8h et 10. L’heure à laquelle ça paraît trop fastoche d’être chez toi. Mais bon, au cas où ils te disent que sinon tu peux leur laisser un mot avec ton relevé de compteurs. Ils sont gentils hein ?

 

Bon, sauf que chez moi les compteurs d’eau ils sont dehors. Genre dans l’herbe, genre sous une plaque à environ 40 cm en-dessous du sol pour pas que ça gèle…

Petit aparté : à part ça, ça fait quand même 2 we qu’on passe sans eau chaude parce que les canalisations sont gelées, HEIN !

 

Voilà, voilà, donc me voilà bien équipée : papier, crayon, tournevis, bottes en caoutchouc, triple écharpe, partie relever mes compteurs d’eau. Et là, la plaque a refusé de se soulever. Carrément. Obstinément.

Donc je suis rentrée, j’ai tout balancé et je suis retournée me vautrer dans le canapé.

 

Le lendemain matin à 6h40 (l’heure à laquelle je suis censée grimper dans ma voiture pour filer au boulot), j’y ai repensé. Zut de flûte, comment qu’on va faire ? Très inspirée, je leur laisse donc un SUPER mot :

 » Les compteurs d’eau sont dehors (dans l’herbe (sous la plaque verte)). Merci  »

Oui c’est pas super aimable. Mais j’étais super à la bourre. Bref.

 

Le soir, retrouvant mon mot intact et aucune trace du passage d’un quelconque agent, je raconte mes mésaventures à Mr Chéri qui me dit :

–  » Ben c’était pas les compteurs d’électricité qu’ils venaient relever ?  »

–  » … Ben non. Les compteurs d’eau ! »

–  » T’es sûre ? Il me semble vraiment que tu m’avais dit que c’était l’électricité.  »

–  » … »

Boulet

Une Réponse to “Call me boulet”

  1. lafilledelabande février 17, 2012 à 7:34 #

    Je suis bidonnée! Parce que c’est tout à fait le genre de choses que je suis capable de faire^^. Du coup, quand je reçois ce genre de message, je dépose devant l’ordi de MonMec et c’est lui qui gère.
    Le problème, c’est qu’au boulot, il est pas là et il y a de temps en temps des ratés, je dois bien l’avouer.

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